Je ne peux toucher terre,
En pensée je vis ma vie,
Dans ce monde en sursis,
Oui je guette la moindre envie.
Si le passé est passé,
Arrêtons de radoter,
Les solutions s’effacent,
T’as beau crier mais rien ne se passe.
Quand plus rien n’est plus pareil,
Quand t’as le cerveau en veille,
Tu le sais mais sans une trace.
La routine de nos sens,
N’empêche pas ta conscience.
De te rappeler où tu en es quand,
Le message devient important,
Ecris sur les lignes de ta vie,
Ce qui t’emporte.
Ne laisses rien au hasard,
Avant qu’il soit trop tard,
N’ignore plus ce qui résonne en toi !
Ce qui résonne, ce qui résonne, ce qui résonne !
Si toutefois je préfère,
L’anonymat à découvert,
Somnambule d’une nuit,
Pile ou face lequel je suis.
Je reviens en arrière,
Cela risquerait de ne pas me plaire,
Mais je ne sais plus,
À quelle page j’en suis rendu !
Quand plus rien n’est plus pareil,
Quand t’as le cerveau en veille,
Tu le sais mais sans une trace.
La routine de nos sens,
N’empêche pas ta conscience.
De te rappeler où tu en es quand,
Le message devient important,
Ecris sur les lignes de ta vie,
Ce qui t’emporte.
Ne laisses rien au hasard,
Avant qu’il soit trop tard,
N’ignore plus ce qui résonne en toi !
Ce qui résonne, ce qui résonne, ce qui résonne !
Ce qui résonne, ce qui résonne, ce qui résonne !
De te rappeler où tu en es quand,
Le message devient important,
Ecris sur les lignes de ta vie,
Ce qui t’emporte.
Ne laisses rien au hasard,
Avant qu’il soit trop tard,
N’ignore plus ce qui résonne en toi !
Ce qui résonne, ce qui résonne, qui résonne !
Ce qui résonne, ce qui résonne, ce qui résonne !
Qui résonne !